Comme d'habitude, je tiens mes promesses...
Vous ne dégusterez donc pas les photos de cette rencontre attachante car mon visiteur a émis le souhait de ne pas les partager
avec vous.
Bavez plutôt sur son récit ! ;-)
" Chère Maîtresse Akina,
Après avoir découvert votre site, et devant séjourner quelques jours
à Montpellier, je n'ai pas pu résister à l'envie de vous rencontrer. Il est vrai que les commentaires de vos visiteurs passés ne sont pas avares de compliments. Et malgré ma demande tardive, vous
avez pu me consacrer quelques heures, ce dont je me réjouis encore.
Après une douche bien appréciée en ce chaud mois d'août, notre séance a commencé par une agréable conversation. J'étais nu, à genoux devant vous, les mains dans le dos. Je vous ai fait pas part de mes attentes et de mes limites. Vous, assise sur
votre trône. Jupe courte, bas noirs, talons hauts et un décolleté dont mon regard n'arrivait pas à se détacher. Très rapidement
j'ai pu apprécié votre professionnalisme et votre bienveillance. je me suis vite senti entre
de bonnes mains, si je puis dire. Bonnes mais fermes.
Et dès la fin de notre entretien, vous m'avez sèchement giflé pour ne pas avoir su présenter mes offrandes dans les
formes. Je promets de ne plus recommencer. ou peut-être pas ;-)
Vous avez ensuite attaché fermement mes testicules à l'aide d'une
cordelette, placé de petites mais douloureuses pinces à mes tétons, vous m'avez mis un large collier de cuir, attaché une laisse, et finalement mis une cagoule qui gênait agréablement ma respiration et ma vision. Et en tirant sur la laisse vous m'avez forcé à me
mettre a quatre pattes et à rejoindre une gamelle de chien et à y laper l'eau. je ne pouvais y boire que bruyamment ce qui vous faisait délicieusement rire. Et vous m'avez forcé à tout
finir.
Vous m'avez ensuite promené avec la laisse comme en me traitant comme votre
chien. je me frottais à vous, vous me caressiez, ou me tiriez à l'occasion si je ne n'avançais pas assez vite. Puis vous avez décidé de
vous assoir sur mon dos, moi toujours à quatre pattes, et je dus vous promener ainsi. Je fis de mon mieux, votre poids portant sur mes genoux douloureux, je serrais les dents pour ne pas
vous décevoir.
Après cette mise en bouche, vous ayant donné carte blanche, vous avez décidé de
m'attacher de fines cordes pour pouvoir me suspendre et être ainsi totalement à votre merci.
J'ai aimé vous voir choisir vos cordes, vous rapprocher de moi pour
m'attacher, sentir ainsi votre parfum, vous caresser discrètement, vous embrasser furtivement, recevoir à nouveau une gifle méritée pour tant d'insolence. Vous m'avez aussi rajouté un bâillon-boule, une nouveauté pour moi, qui rajoute la fausse crainte mais le vrai plaisir de ne peut-être plus
pouvoir signaler si jamais vous deviez être trop sévère.
Et puis je me suis retrouvé ligoté, les bras attachés dans le dos, des cordes attachés aux jambes. Vous avez tiré une corde
et mon pied gauche s'est levé bien au-dessus de ma taille, l'autre pied touchant à peine le sol. Sensation délicieuse.
Puis tout mon corps a décollé, je ne touchais plus le sol, un pied au-dessus de ma tête, les mains dans le dos, mon corps à
l'horizontal, position ridicule, mon intimité complètement exposée. Je suis surpris de découvrir confortable une position si peu naturelle, le sentiment
de pouvoir rester des heures ainsi, et le désir aussi.
Vous avez alors allumé votre caméra, sensation très ambiguë, à la fois une jouissance mais aussi crainte absolue de
dramatiques conséquences sociales possibles.
Et vous avez alors commencé me titiller. Surtout mon sexe, hyper excité de tant d'émotions. À la fois le branlant, le
griffant, le caressant, le giflant, et moi sans défense aucune. Puis vous m'avez fessé. douleur exquise.
Puis approchant votre bouche magnifique de mon sexe, mimant une fellation impossible, m'obligeant a regarder ce spectacle
insoutenable, moi vous implorant, vous rigolant.
Puis muni d'un gant en latex, lubrifié, vous m'avez pénétré d'un doigt. ou plusieurs. Lentement. Longuement. Et toujours me
branlant, me titillant, me pinçant, alternant moment de plaisir et de douleurs vives, mais courtes.
Ce furent alors de longues minutes de plaisir, un plaisir redoublé car
vous sembliez vous aussi prendre plaisir à pouvoir faire de moi l'objet de tous vos caprices.
Et c est seulement constatant que je commençais à fatiguer que vous avez accepté de m'accorder un répit que je crois avoir
mérité. Cela faisait déjà sans doute plus de deux heures que nous jouions ensemble.
Vous décidiez alors de m'allonger sur un lit, sur le dos, pieds et mains solidement entravés. Et vous avez
alors commencé un nouveau jeu, long et sadique, de "tease and denial". D'autant plus cruel que si une de mes mains parvenait à vous toucher, voire vous caresser rapidement la cuisse, vous
redoubliez alors de cruauté. J'ai adoré lorsque nos regards se croisaient, à 5 cm de distance, votre main serrant fortement mon sexe jusque a ce que je baisse les yeux. et moi implorant un baiser et vous me renvoyant à ma condition d'esclave.
Et finalement, de longues minutes plus tard, n'en pouvant plus, vous avez autorisé mon sexe à exploser dans un orgasme
fantastique.
Rapidement douché, rhabillé, nous avons alors partagé un café, très apprécié, et surtout une belle discussion.
Maitresse Akina a ce talent rare de donner l'impression dès notre première rencontre que nous sommes des amis de longue date.
Soyez assurée Maitresse Akina que si mes pas me portent à nouveau vers Montpellier je ne manquerai pas de vous rendre
visite.
votre soumis, rémi"
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