Vous aurez, sur cet article à faire appel à votre imagination débordante car les photos de cette journée attachante ne vous seront jamais dévoilées.

Amusez vous bien!

Très perversement,

Maitresse Akina

Compte-rendu de sombre inconnu :

Un premier compte-rendu, à chaud, alors que je ne suis pas encore totalement remis de mes émotions du jour.

A 9h50 ce matin, je sollicite l'autorisation de sonner. Le rendez-vous est à 10h. Vous refusez, avec un sourire. Ce petit jeu auquel nous jouons m'amuse déjà.
Je suis le premier au rendez-vous, vous me passez la lourde camisole de cuir, et me sanglez sur le fauteuil, face au centre de la pièce.
Z arrive à son tour, elle est invitée à patienter à genoux, sur ma gauche, pendant que vous finissez de m'immobiliser solidement.
La cagoule réduit mon champ de vision, et je suis impatient de découvrir ma partenaire de bondage.

Alors que vous me soumettez aux stimulations électriques, bien moins douces que celles de "Pénélope", Z est installée face à moi, et j'ai tout loisir de constater à quel point elle est belle, moulée dans son corset. Celui-ci sera progressivement remplacé par un harnais de cordes savamment appliquées.

Les mains de Z, enfermées dans des moufles de cuir, sont maintenues au dessus de sa tête par une cordelette qui passe dans un mousqueton, et dont l'extrémité est nouée... autour de mes couilles (devrais-je dire "testicules", Maîtresse ?-). Cette cordelette sera le fil rouge de la séance, et ne me quittera que bien plus tard.

Je sens Z prête à s'abandonner à la moindre de vos caresses, yeux fermés, tête penchée, offrant un spectacle excitant et inquiétant à la fois, en raison des mouvements qu'elle pourrait effectuer et de leur conséquence sur la tension de la cordelette.

Lorsque vous complétez le bondage de Z et l'élevez dans les airs, à l'horizontale, à quelques centimètres de moi, ses jambes de part et d'autre de mon visage, le spectacle qu'elle m'offre devient magnifique, terriblement excitant, terriblement frustrant, puisque je ne peux bouger d'un centimètre.

Sous vos caresses, Z se tortille dans une musique enivrante, et alors que je meurs de désir, une pensée m'amuse: je n'ai pas les yeux bandés, et c'est bien là la torture. Pour une fois, être aveuglé, voire porter un casque sur les oreilles, m'aurait permis d'échapper au spectacle insoutenable de Z, là, juste devant moi, si proche et si inaccessible.

Hélas, à ces images s'ajoute le long, cruel, tease que vous pratiquez avec une expertise diabolique. Vous me laissez à plusieurs reprises tout proche de la délivrance, pour mieux revenir me torturer quelques instants plus tard.
Les pinces qui mordent les seins de Z sont à présent reliées aux cordes qui m'immobilisent, mais je suis trop étroitement plaqué au fauteuil pour en jouer comme je le voudrais.

Le vocabulaire me fait défaut pour exprimer le niveau d'excitation que j'atteins après plus de deux heures, quand vous nous accordez un orgasme simultané, point d'orgue d'une séance qui me laisse essoufflé pour plusieurs minutes.

Dernière pensée qui m'amuse: comment est-il possible d'éprouver autant de désir pour une inconnue qu'il ne m'a même pas été possible d'effleurer ?
Votre maîtrise du tease m'impressionne.

Merci pour cette séance extraordinaire, qui correspondait exactement à mes attentes, c'était parfait.
Merci mille fois pour le repas que vous avez eu la gentillesse de nous offrir, et ce moment de complicité.
Merci également à Z pour ces émotions fortes.

Compte-rendu de Z :

Une journée perverse et riche en sensations, mercredi.

Arrivée discrète après avoir raté la sortie du tram (déjà vous me pré-perturbez si je puis dire), je dois me parer et me cagouler avant de pouvoir pénétrer votre antre...

...Pour la raison qu'il y a déjà un sombre inconnu entre vos mains, lié et enfermé dans une camisole de cuir, le sexe ligoté, tout à votre merci.

Nous sommes présentés, puis j'ai le bonheur de vous voir évoluer avec lui, j'aime celà, c'est excitant.

L'inconnu va être branché sur du courant...pendant que vous m'attacherez.
Je crois que c'est à ce moment que vous décidez de nous rapprocher un peu par un lien nous unissant et me confiez l'entièreté de la survie de ses couilles, oh quelle responsabilité j'en suis toute stressée, si je m'abandonne trop je lui tire dessus et si je me lache je lui arrache !
Un encordage long, bon et confortable de surcroit pour une suspension qui va être très scandaleuse!
je me retrouve en effet écartelée autour de cet inconnu qui a tout le loisir d'observer mes parties intimes, a traves sa cagoule que jespère très foncée.

Cet inconnu a eu la délicate attention d'apporter le branleur électrique le plus redoutable que je connaisse.
...sans commentaire...

J'ai la tête dans le foulard je ne vois pas ce que vous lui faîtes mais mon immagination va bon train ...
Vous nous faîtes jouir de façon forte et synchronisée, mais comment est ce possible...

Merci M Akina pour ce partage et pour avoir "forcé" notre complicité.
D'ailleurs à ce sujet vous avez été généreuse aussi avec lui en lui confiant la survie de mes tétons roses si fragiles et si durement pincés..."si tu m'arraches les tétons je t'arrache les couilles"...mais bien sûr chacun a été bienveillant avec l'autre, enfin g eu très peur quand même monsieur le sombre inconnu, sachez !

Beaucoup d'émotion, suivi de "l'hospitalité Africaine" de Maîtresse, absolument délicieuse, encore une preuve de votre épicurisme...