Le site de Maitresse Akina
Et dès la fin de notre entretien, vous m'avez sèchement giflé pour ne pas avoir su présenter mes offrandes dans les formes. Je promets de ne plus recommencer. ou peut-être pas ;-)
Vous avez ensuite attaché fermement mes testicules à l'aide d'une cordelette, placé de petites mais douloureuses pinces à mes tétons, vous m'avez mis un large collier de cuir, attaché une laisse, et finalement mis une cagoule qui gênait agréablement ma respiration et ma vision. Et en tirant sur la laisse vous m'avez forcé à me mettre a quatre pattes et à rejoindre une gamelle de chien et à y laper l'eau. je ne pouvais y boire que bruyamment ce qui vous faisait délicieusement rire. Et vous m'avez forcé à tout finir.
Vous m'avez ensuite promené avec la laisse comme en me traitant comme votre chien. je me frottais à vous, vous me caressiez, ou me tiriez à l'occasion si je ne n'avançais pas assez vite. Puis vous avez décidé de vous assoir sur mon dos, moi toujours à quatre pattes, et je dus vous promener ainsi. Je fis de mon mieux, votre poids portant sur mes genoux douloureux, je serrais les dents pour ne pas vous décevoir.
Après cette mise en bouche, vous ayant donné carte blanche, vous avez décidé de m'attacher de fines cordes pour pouvoir me suspendre et être ainsi totalement à votre merci.
J'ai aimé vous voir choisir vos cordes, vous rapprocher de moi pour m'attacher, sentir ainsi votre parfum, vous caresser discrètement, vous embrasser furtivement, recevoir à nouveau une gifle méritée pour tant d'insolence. Vous m'avez aussi rajouté un bâillon-boule, une nouveauté pour moi, qui rajoute la fausse crainte mais le vrai plaisir de ne peut-être plus pouvoir signaler si jamais vous deviez être trop sévère.
Et puis je me suis retrouvé ligoté, les bras attachés dans le dos, des cordes attachés aux jambes. Vous avez tiré une corde et mon pied gauche s'est levé bien au-dessus de ma taille, l'autre pied touchant à peine le sol. Sensation délicieuse. Puis tout mon corps a décollé, je ne touchais plus le sol, un pied au-dessus de ma tête, les mains dans le dos, mon corps à l'horizontal, position ridicule, mon intimité complètement exposée. Je suis surpris de découvrir confortable une position si peu naturelle, le sentiment de pouvoir rester des heures ainsi, et le désir aussi. Vous avez alors allumé votre caméra, sensation très ambiguë, à la fois une jouissance mais aussi crainte absolue de dramatiques conséquences sociales possibles. Et vous avez alors commencé me titiller. Surtout mon sexe, hyper excité de tant d'émotions. À la fois le branlant, le griffant, le caressant, le giflant, et moi sans défense aucune. Puis vous m'avez fessé. douleur exquise. Puis approchant votre bouche magnifique de mon sexe, mimant une fellation impossible, m'obligeant a regarder ce spectacle insoutenable, moi vous implorant, vous rigolant. Puis muni d'un gant en latex, lubrifié, vous m'avez pénétré d'un doigt. ou plusieurs. Lentement. Longuement. Et toujours me branlant, me titillant, me pinçant, alternant moment de plaisir et de douleurs vives, mais courtes. Ce furent alors de longues minutes de plaisir, un plaisir redoublé car vous sembliez vous aussi prendre plaisir à pouvoir faire de moi l'objet de tous vos caprices. Et c est seulement constatant que je commençais à fatiguer que vous avez accepté de m'accorder un répit que je crois avoir mérité. Cela faisait déjà sans doute plus de deux heures que nous jouions ensemble. Vous décidiez alors de m'allonger sur un lit, sur le dos, pieds et mains solidement entravés. Et vous avez alors commencé un nouveau jeu, long et sadique, de "tease and denial". D'autant plus cruel que si une de mes mains parvenait à vous toucher, voire vous caresser rapidement la cuisse, vous redoubliez alors de cruauté. J'ai adoré lorsque nos regards se croisaient, à 5 cm de distance, votre main serrant fortement mon sexe jusque a ce que je baisse les yeux. et moi implorant un baiser et vous me renvoyant à ma condition d'esclave. Et finalement, de longues minutes plus tard, n'en pouvant plus, vous avez autorisé mon sexe à exploser dans un orgasme fantastique.
Rapidement douché, rhabillé, nous avons alors partagé un café, très apprécié, et surtout une belle discussion. Maitresse Akina a ce talent rare de donner l'impression dès notre première rencontre que nous sommes des amis de longue date.
Soyez assurée Maitresse Akina que si mes pas me portent à nouveau vers Montpellier je ne manquerai pas de vous rendre visite. votre soumis, rémi"
Merci... ce sont les avantages de l'âge
Superbe récit !!
Et magnifique photos de voius Maîtresse Akina!
Vous êtes sublime
Merci, je vois que vous en perdez votre latin...
Divine Maitresse Akina.
Visiblement un nouveau soumis pris dans votre toile !...
Une fois attrappe, il n'y a plus moyen de s'en echapper. Mais en a t on vraiment envie ?
That is the question !
Maitresse c'est vrai de ne pas avoir les photos de cette séance c'est un peu frustrant mais cela donne beaucoup d'envies de venir se retrouver vite à vos pieds de reine. A travers le récit on sent bien que la séance a été magique .Je savoure encore avec plaisirs les photos de votre nouvelle tenue
rouge et blanche qui vous va encore à merveilles. Des fleurs et des fleurs. Il ne manque plus qu'Amia au bout de la laisse.
A bientôt votre Amia
Eh oui, respect de la confidentialité oblige .
Merci pour ces compliments, j'espère te nouer très très très bientôt
Ca donne envie...Mon imagination travaille d'arrache pied pour combler l'abscence de photos de la séance.
Respectueusement
C'est aussi le but recherché...
Magnifique récit, très sincère et plein de passion.
Et comme le dit très bien soumis arlésien, c'est un plaisir que d'imaginer ces scènes sans d'ailde de photos !
Eh oui, comme arlésien, vous avez aussi perdu votre latin !
Les méninges ont certainement beaucoup travailler, en effet.
nouvel habillage... nouvelle toile... Divine Maitresse Akina
eh oui...
Vous etes vraiment belle, Maitresse. c'est redoutable! Votre sourire.... Vos jambes
à fond, le gamin... hein?!
Sublime Maîtresse Akina, Cela devient lassant, il n'y en a pas un ou une, je devrais dire qui ne tombe dans votre piège.
Sa Majesté des mouches, je vais vous appeler Divinité Suprême
j'adore ton humour
les lunettes vous vont à ravir Maitresse Akina.